Traducteur

mercredi 16 mai 2012

Emmurée vivante dans son corps

Cet article paru dans :
http://www.leparisien.fr/societe/emmuree-vivante-dans-son-corps-24-03-2012-1921866.php
est une preuve de plus, s'il en faut, des conséquences d'une médecine déshumanisée et où le profit règne en maître ! Qui a intérêt à prélever et ensuite VENDRE des organes humains ? La " mort cérébrale " est-elle véritablement la mort ?

Sentinelle

DANS LE COMA MAIS CONSCIENTE, SON MARI AVAIT DÉJÀ CHOISI LE CERCUEIL

Angèle Lieby a vécu une expérience incroyable qu’elle raconte dans un livre publié cette semaine. Les médecins la croyaient dans le coma. Ses proches la pensaient perdue. Elle était inerte mais pleinement consciente.

Florence Deguen | Publié le 24.03.2012, 14h43


Paris, jeudi. Atteinte d’un syndrome extrêmement rare, Angèle Lieby, 59 ans, a été considérée comme morte pendant près de deux semaines. En réalité, son corps était entièrement paralysé mais elle était pleinement consciente. | (LP/Philippe de Poulpiquet.)

Quand elle a repris conscience, elle a d’abord cru qu’elle était ensevelie sous des décombres. Que les urgences s’étaient écroulées après un séisme. Et puis il y a eu des pas, des voix, des bips… Et Angèle Lieby a réalisé l’impensable : l’hôpital où elle avait été admise pour une violente migraine était intact.

Mais elle… y était considérée comme morte. Un corps inerte, intubé, relié à des machines, dans lequel son esprit conscient et tétanisé a vécu enfermée pendant deux interminables semaines, trompant médecins et encéphalogrammes. Tout entendre et ne pas pouvoir hurler, c’est l’enfer que cette Strasbourgeoise de 59 ans a voulu raconter, trois ans après ce terrible 13 juillet 2009, dans « Une larme m’a sauvée »*. Et la larme n’est pas loin dans les yeux clairs de cette grande femme pimpante, ancienne ouvrière dans une usine fabriquant des chariots de supermarché, quand elle explique le pourquoi du livre sorti jeudi.

« C’est un peu une thérapie… Mais c’est surtout un cri du cœur : tant qu’on n’est pas , on est vivant! »

Considérer quelqu’un comme vivant, même lorsqu’il semble plongé dans un coma irréversible, c’est ne pas lui enfoncer sans ménagement des instruments métalliques dans la gorge. Ne pas le retourner comme un paquet de viande. Ne pas lâcher, au pied de son lit, « elle va bientôt clamser ». Angèle n’a rien oublié. Surtout pas ce moment où, pour montrer aux externes « comment on voit qu’une personne est vivante ou morte », un médecin lui a tordu le mamelon en concluant « vous voyez, pas de réaction » alors qu’elle ressentait une douleur insupportable.

Raymond, son mari, policier à la retraite, reste dévasté à son chevet. Elle reconnaît son souffle, qu’il a court depuis que le médecin lui a dit : « Il va falloir la débrancher. Plus rien ne fonctionne à part le cœur. » Lui essaye de mettre de la musique, pour la maintenir en vie. « Au début, je fredonnais à l’intérieur, et puis c’est devenu un cauchemar ça aussi, admet Angèle. Les mêmes chansons en boucle, tout le temps… » Raymond finira par aller choisir le cercueil, en chêne clair capitonné de satin blanc. Les obsèques sont fixées au 20 juillet. Puis il se ravise face au chagrin de leur fille Cathy et de leurs deux petites-filles… « J’étais perdu, avoue-t-il. Je la voyais morte, mais je ne pouvais pas accepter qu’on la tue. »

Angèle, mortifiée, se dit qu’elle a bien fait de demander à être incinérée. Au moins, elle ne serait pas enterrée vivante. « Et puis j’ai réalisé que j’avais autorisé le don d’organes, et là, ça a été la panique. J’étais terrifiée à l’idée qu’ils m’arrachent le cœur sans anesthésie. Je sanglotais, et ils ne voyaient rien. » Et puis le 25 juillet, douze jours après le trou noir, c’est son anniversaire de mariage. Raymond et Cathy sont là, à la supplier de ne pas les quitter. A sa propre stupéfaction, une larme jaillit sur la joue d’Angèle. « J’ai entendu ma fille crier, appeler les infirmières. On lui a répondu mais non, c’est du collyre… Mais je pleurais vraiment, et la tristesse s’est transformée en euphorie! » Le soir même, Angèle bougeait un doigt. Le lendemain, un orteil. Et s’il lui a fallu encore quatre mois pour respirer sans tubes, tout l’hôpital a assisté, perplexe, à une résurrection digne de ce nom. « Je ne sais pas d’où je reviens », sourit aujourd’hui Angèle en regardant son Raymond, auprès duquel elle savoure aujourd’hui, quasi rétablie, ce rab de vie. « Je n’ai pas fait ce livre pour critiquer l’euthanasie… Franchement moi-même je voulais qu’on me débranche… (Moi, je suis totalement contre !!! Sentinelle) Mais si ça peut donner de l’espoir à ceux qui croient leur proche parti, si on peut respecter davantage les gens dans le coma, alors je pourrai mourir tranquille quand mon heure viendra! »

Le Parisien

Voici un commentaire dans le fil d'un article paru sur ce blog : 

Commentaire : Voici un article très intéressant sur certains comportements médicaux afin d'obtenir des dons d'organes en cas de morts cérébrales : d'ailleurs, le patient n'est pas mort puisque toutes ses fonctions vitales continuent leur travail ... On ne vérifie même pas que le patient pourrait se réveiller, l'euthanasie ce n'est pas nouveau en fait :

Saviez-vous que, pour pouvoir prélever des organes, le « mort » doit souvent être ... anesthésié ???

Hé oui, c'est une réalité qui est rarement révélée aux donneurs, et à leur famille. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire de don d'organes, au contraire. (Moi, je suis totalement contre !!! Sentinelle) Mais il est important de ne pas le faire aveuglément.

Pour pouvoir être transplantés, les organes doivent être frais. Le cœur d'une personne morte depuis ne serait-ce que cinq minutes est inutilisable : il ne se remettra jamais à battre, y compris avec un pacemaker (un appareil qui donne des chocs électriques pour stimuler les pulsations). Il en va de même des autres organes vitaux (reins, foie, pancréas, poumons...)

Pour que les organes soient bien frais, donc, il faut qu'ils soient encore en train de fonctionner au moment où ils sont prélevés. Ils ne peuvent donc pas être prélevés sur un « mort » réellement mort, mais sur une personne en état de « mort cérébrale », ce qui, nous allons le voir... est très différent.
Revenu du séjour des morts

Le journal anglais Daily Mail publie l'histoire d'un jeune britannique qui a eu la vie sauvée par son père qui s'était opposé à ce que ses organes soient prélevés pour servir à des transplantations. (1)

L'affaire s'est produite à l'hôpital universitaire de Coventry, dans le nord de l'Angleterre :

Stephen Thorpe, 17 ans, avait été gravement blessé à la tête lors d'un accident de voiture au cours duquel était mort son ami Matthieu, 18 ans, qui conduisait le véhicule.

Les médecins le mirent sous coma artificiel et, deux jours plus tard, le déclarèrent en état de « mort cérébrale ». La « mort cérébrale » permet l'ouverture de la procédure de prélèvement d'organes. Mais les parents de Stephen, qui étaient auprès de lui, affirmèrent qu'ils « sentaient que leur fils était encore là » et qu'il réagissait à certaines paroles.

Alors que quatre médecins de l'hôpital confirment la « mort cérébrale » et souhaitent que commence le prélèvement d'organes, les parents de Stephen font appel au Docteur Julia Piper, praticienne de médecines traditionnelles et alternatives. Celle-ci obtient l'autorisation de faire examiner Stephen par un neurochirurgien de confiance, qu'elle connaît.

Celui-ci conclut que le jeune garçon n'est absolument pas « mort cérébralement ». Il demande qu'il soit au plus vite sorti de son coma artificiel. Et en effet, cinq semaines plus tard, Stephen rentre chez lui, entièrement remis.

Aujourd'hui, Steven a 21 ans et étudie la comptabilité à l'université de Leicester. « Mon impression est que l'hôpital n'était pas très favorable à ce que mon père demande une contre-expertise médicale » a-t-il déclaré au Daily Mail.
Ne pas confondre « mort » et « mort cérébrale »

Le concept de « mort cérébrale » a été inventé en 1968. Jusque-là, on ne connaissait que deux états : vivant ou mort.

Une personne était vivante tant que son corps restait chaud, que son cœur continuait à battre, qu'elle respirait et que son sang continuait à circuler.

La mort, au contraire, était déclarée lorsque la vie avait quitté le corps. Un corps mort, au sens traditionnel du terme, devient froid, rigide. Il ne répond plus à aucun stimulus. Le cœur ne bat plus, la tension artérielle disparaît. Le patient arrête de respirer. La peau, les ongles et les muqueuses prennent une couleur bleutée. Mettre le cadavre sous respiration artificielle ne relance pas l'oxygénation du corps. Stimuler le cœur par une impulsion électrique (pacemaker) ne le fait pas recommencer à battre.

Une personne morte ne peut tout simplement plus guérir. Ses organes vitaux, le cœur, le foie, les poumons, les reins et le pancréas ne fonctionnent plus. On ne peut plus les transplanter sur une personne vivante, car ils commencent à se décomposer aussitôt que l'oxygénation et la circulation sanguine s'arrêtent. Cinq minutes plus tard, ils sont inutilisables.

Pour pouvoir prélever des organes encore vivants, et donc capables d'être transplantés sur une nouvelle personne, les médecins créèrent en 1968 le concept de « mort cérébrale ». Une personne dont le cœur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd'hui être déclarée en état de « mort cérébrale ». On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l'excrétion (évacuation des déchets), et l'équilibre des fluides.

S'il a des blessures, on constatera que le « mort cérébral » cicatrise, et si c'est un enfant, qu'il continue à grandir. Il peut même traverser la puberté. Une femme enceinte en état de « mort cérébrale » peut continuer à porter son enfant : la plus longue période enregistrée est de 107 jours jusqu'à l'accouchement.

En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés sur une autre personne, le « donneur » d'organe décède pour de bon.
Pour prélever des organes, le « mort » doit d'abord être anesthésié

Très souvent, la personne en état de « mort cérébrale » est sensible aux opérations chirurgicales. C'est ce que les médecins appellent l'effet Lazare, du nom de l'homme qui, dans les Évangiles, ressortit de son tombeau.

Pour pouvoir prélever les organes vitaux, les médecins doivent donc pratiquer l'anesthésie, ou injecter des substances paralysantes pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d'autres réflexes protecteurs.

Dans la pratique médicale normale, de telles réactions de la personne opérée indiquent à l'anesthésiste que l'anesthésie est trop légère, et que le patient souffre.

Ces informations, que n'importe quel médecin pourra vous confirmer, sont malheureusement mal connues du grand public. Il semble également que les familles à qui l'on demande d'autoriser un prélèvement d'organe ne soient malheureusement pas toujours informées objectivement.
Le cas de Stephen n'est pas isolé

Il existe des dizaines de cas similaires à celui de Stephen, dans lesquels une personne comateuse ou inconsciente est déclarée en état de « mort cérébrale » ou « sans espoir de guérison ». Bien souvent, les familles subissent alors des pressions pour autoriser les prélèvements d'organes.

En 2011, l'Hôpital Sainte-Croix de Drummondville (au Québec), a demandé l'autorisation d'extraire les yeux d'une patiente qui s'était étranglée pendant son repas à l'hôpital en l'absence de personnel soignant, affirmant qu'elle était en état de « mort cérébrale ». Après que la famille eut demandé des preuves au médecin, elle se réveilla et retrouva l'essentiel de ses facultés. (2)

En 2008, un Français de 45 ans s'est réveillé sur la table d'opération, tandis que les médecins s'apprêtaient à lui prélever ses organes, suite à un arrêt cardiaque. Lors de l'enquête menée par le « comité d'éthique », plusieurs médecins reconnurent que ce type de cas, bien que rare, leur était parfaitement connu. (3)

La même année, Sack Dunlap, un Américain de 21 ans, « mort cérébralement », était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux sœurs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu'il était en effet « mort cérébralement ». Discrètement, elles enfoncèrent une pointe sous son ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction de Dunlap, prouvant qu'il était conscient. Il se remit complètement et déclara plus tard qu'il était conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu'ils allaient lui prélever !

Alors, dans ce domaine comme dans tous les autres, cher lecteur, rappelez-vous qu'il s'agit de votre vie, votre santé, et jamais de celle ni des médecins, ni des personnes qui vous conseillent, même lorsque celles-ci sont de la meilleure volonté.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis.( Santé et nutrition)

À lire absolument :


lundi 14 mai 2012

La Fête Juive des Trompettes et l'Enlèvement des Chrétiens


 Article de Russ Pickett, suivi d’un article d'Henri Viaud-Murat :

 

1 – Article de Russ Pickett

 

À quelle époque de l’année pourrait se produire l’Enlèvement ?


Article traduit par Henri Viaud-Murat, publié autrefois sur le site Internet paroledevie.org (site fermé depuis Août 2007).

L’auteur montre comment l’Enlèvement de l’Église doit se produire un prochain jour de la Fête des Trompettes (Rosh Hashanah), seule Fête de L'ÉTERNEL dont les Israélites ne connaissaient ni le jour ni l’heure !

Pouvons-nous savoir quand se produira l’Enlèvement de l’Église ?


Depuis que notre Seigneur est mort sur la croix pour nos péchés, tous les véritables Chrétiens attendent le jour de l’Enlèvement de l’Église.

Dans cet article, nous vous présentons un moyen possible de savoir au moins à quelle période de l’année devrait se produire ce magnifique événement.

Chaque fois que l’on parle de l’Enlèvement, on en vient à citer un verset qui clôt immédiatement toute discussion :

« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni Le Fils, mais Le Père seul » (Matthieu 24 : 36).

Toutefois, il est nécessaire d’étudier d’un peu plus près ces paroles du Seigneur, pour comprendre un aspect important de la pensée et des traditions Juives. Il faut savoir en effet que l’expression : « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, » est une expression idiomatique courante de l’Hébreu, pour désigner le jour de la Fête des Trompettes, appelée aujourd’hui « Rosh Hashanah, » ou premier jour de l’année civile Juive, le premier jour du septième mois de l’année religieuse.

En disant : « Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, » JÉSUS voulait faire clairement comprendre aux Juifs qui L’écoutaient qu’Il allait revenir lors d’une Fête des Trompettes, à une date future inconnue. C’est comme si quelqu’un nous disait aujourd’hui : « Je vous reverrai le jour où l’on échange traditionnellement les cadeaux. » Nous saurions aussitôt qu’il s’agit du jour de Noël.

Pouvons-nous donc nous attendre à voir notre Seigneur revenir lors d’une prochaine Fête des Trompettes ?

Les sept Fêtes de L’ÉTERNEL données au peuple Juif.


L’ÉTERNEL avait demandé à Son peuple d’observer sept fêtes solennelles :

1 – Les fêtes du printemps :

  • La Pâque
  • Correspond à la mort de JÉSUS-CHRIST. JÉSUS est mort le jour même de la Pâque Juive (premier mois, quatorzième jour du mois).
  • La Fête des Pains sans Levain
  • Correspond à l’ensevelissement de JÉSUS-CHRIST. JÉSUS fut enseveli le jour même de cette fête (premier mois, quinzième jour du mois).
  • La Fête des Prémices
  • Correspond à la résurrection de JÉSUS. JÉSUS ressuscité le jour même de cette fête (premier jour de la semaine suivant le sabbat de la Pâque).
  • La Fête de Pentecôte
  • Cinquante jours après la résurrection de JÉSUS. Le Saint-Esprit fut répandu le jour même de cette fête Juive (cinquante jours après la Fête des Prémices).

2 – Les fêtes de l’automne :

  • La Fête des Trompettes
  • Premier jour du septième mois (Tishri). C’est le Nouvel An Juif.
  • Le Jour des Expiations
  • (Yom Kippur) : dixième jour du septième mois.
  • La Fête des Tabernacles
  • Quinzième jour du septième mois.
Ces fêtes sont décrites dans Lévitique 23. Elles étaient fixées à des dates précises, et devaient aussi symboliser le plan prophétique de DIEU concernant la venue du Messie et la rédemption de l’humanité. Les quatre premières fêtes, celles du printemps, ont déjà été accomplies lors de la première venue de JÉSUS. Elles constituent un processus complet, commencé le jour de la Pâque, et achevé le jour de la Pentecôte.

Ces quatre fêtes du printemps sont distinctes des trois dernières fêtes de l’automne. Ces trois dernières fêtes (Rosh Hashanah, Yom Kippur et Tabernacles) forment aussi un tout, mais leur accomplissement prophétique est encore à venir, lors du retour de JÉSUS.

Prophétiquement, le Fête des Trompettes (Rosh Hashanah) est associée au prochain Enlèvement de l’Église. Le Yom Kippur trouvera son accomplissement prophétique à la fin de la Tribulation, lorsque tout Israël sera sauvé. La Fête des Tabernacles sera prophétiquement accomplie quand DIEU viendra à nouveau habiter au milieu de Son peuple, au commencement du règne millénaire de JÉSUS-CHRIST sur la terre.

La prochaine fête à voir son accomplissement prophétique sera donc la Fête des Trompettes. Pourquoi associons-nous la Fête des Trompettes à l’Enlèvement de l’Église ?


Les Juifs appellent encore le Rosh Hashanah le « Yom Teruah, » ou de « jour du son qui réveille. » Ensuite, nous trouvons les « jours redoutables, » qui représentent la Tribulation. Ensuite viennent le Yom Kippur et la Fête des Tabernacles. Cette succession d’événements est, en soi, un argument formidable en faveur d’un Enlèvement qui précède la Grande Tribulation.

De nombreux thèmes sont associés au Rosh Hashanah : le couronnement du Roi, la résurrection des morts, la joie du Royaume Messianique, et les noces du Messie. Un autre thème très fortement associé à ce jour est celui du « réveil. » « Teruah » peut aussi être traduit par « cri. » Ces thèmes nous rappellent ces versets de la première épître aux Thessaloniciens :

« Voici, en effet, ce que nous vous déclarons d’après la parole du Seigneur : nous les vivants, restés pour l’avènement du Seigneur, nous ne devancerons pas ceux qui sont morts. Car le Seigneur Lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de DIEU, descendra du ciel, et les morts en Christ ressusciteront premièrement. Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec Le Seigneur » (1 Thes. 4 : 15-17).

Ce passage est rempli d’expressions idiomatiques Juives, qui sont explicitement associées au Rosh Hashanah, la Fête des Trompettes. Ce passage tend donc à nous prouver que le jour de l’Enlèvement de l’Église et de la résurrection des morts interviendra un jour de Rosh Hashanah.

L’un des thèmes significatifs de la Fête des Trompettes est celui des noces du Messie. Examinons donc les antiques coutumes Juives associées à la cérémonie du mariage, pour constater que certaines de ces pratiques correspondent à de nombreux thèmes de cette Fête des Trompettes. Voici ce qui se pratiquait lors d’un mariage Juif (avec la correspondance lors des noces de l’Agneau) :
  • La fiancée indiquait à son fiancé qu’elle acceptait de se marier avec lui en buvant une coupe de vin qu’il lui tendait. (JÉSUS a offert à Ses disciples une coupe de vin, lors du dernier repas). Quand nous buvons cette coupe, cela signifie que nous avons accepté de faire partie de Sa Fiancée.
  • Le fiancé devait payer un certain prix aux parents de sa fiancée. (JÉSUS-CHRIST a payé de Sa vie et de Son sang le rachat de Sa Fiancée).
  • Le fiancé offrait ensuite des cadeaux à sa fiancée. (Jésus a donné Son Saint-Esprit à Sa Fiancée).
  • Le fiancé allait ensuite préparer une maison, pour y vivre avec son épouse après son mariage. (JÉSUS est parti nous préparer une place pour nous y emmener avec Lui).
  • Le fiancé venait chercher sa fiancée au milieu de la nuit, accompagné par une foule d’amis et de membres de sa famille, qui criaient et sonnaient du shofar. (« Car le Seigneur Lui-même, à un signal donné, à la voix d’un archange, et au son de la trompette de DIEU, descendra du ciel »).
  • Après leur mariage, l’époux et l’épouse devaient passer sept jours ensemble pour consommer leur union dans la chambre nuptiale. (Le Seigneur et Son Épouse, l’Église, doivent passer sept ans ensemble pour consommer leur union. Pendant ce temps, ce sera la Tribulation de sept ans sur la terre).

Rappelez-vous que mille ans sont comme un jour pour le Seigneur. Le Seigneur a été absent « deux jours. » Le « troisième jour, » Il reviendra pour chercher Son Épouse.


Notez aussi que la fiancée Juive devait quitter son environnement familial habituel pour se rendre à un endroit où elle n’avait jamais été : la maison que lui avait préparée son fiancé. Dès l’arrivée du fiancé, ils se rendaient immédiatement au repas des noces, puis entraient dans la chambre nuptiale pour une période de sept jours, afin de consommer leur union.

Le Rosh Hashanah est aussi connu comme le « jour de la dissimulation. » En effet, pendant les sept années de la Tribulation, que DIEU le Père enverra sur un monde rebelle et incrédule, l’Église sera « dissimulée » dans la chambre nuptiale avec son Époux. C’est encore une indication du fait que l’Enlèvement doit précéder la Tribulation.

Quand les « sept jours » (ou sept années) seront terminés, nous retournerons avec JÉSUS sur la terre, pour célébrer avec Lui le Yom Kippur et la Fête des Tabernacles. C’est à ce moment-là que ces deux dernières fêtes trouveront leur accomplissement prophétique.

Nous croyons que tous les événements de la fin des temps sont déjà divinement planifiés, et qu’ils ne se produiront pas n’importe quand. En outre, nous croyons que l’Enlèvement se produira au moment fixé par DIEU, et que ce moment nous a déjà été indiqué par le Seigneur dans Sa Parole, notamment quand on étudie la signification prophétique des Fêtes de L’ÉTERNEL.

Nous croyons que tous les véritables Chrétiens entendront le « son qui réveille, » le son du shofar, et le « cri » de l’Archange. Nous irons alors demeurer dans la présence intime de notre Seigneur, pendant que les « jours redoutables » de la Tribulation se dérouleront sur la terre.
 

2 – Article d'Henri Viaud-Murat :

 
C’est en faisant une recherche sur la Fête des Trompettes que nous avons compris ce que le Seigneur JÉSUS avait voulu dire quand Il avait dit :

« Pour ce qui est du jour et de l’heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni Le Fils, mais Le Père seul » (Matthieu 24 : 36).

Les Chrétiens ont été, pendant des siècles, séparés de leurs racines Juives. À cause de cela, ils ne sont plus en mesure de comprendre la signification de certaines expressions de l’hébreu, ni de certaines coutumes Juives.

En prononçant cette phrase, JÉSUS, en réalité, voulait clairement dire à Ses auditeurs Juifs : « Faites attention ! Je reviendrai un jour futur de la Fête des Trompettes ! »

En effet, la Fête des Trompettes était la seule Fête de L'ÉTERNEL dont on ne pouvait connaître à l’avance ni le jour ni l’heure ! Toutes les autres fêtes commençaient en général au milieu d’un mois, ou après le commencement d’un mois. La Fête des Trompettes était la seule à commencer le premier jour d’un mois. Les Juifs suivaient le calendrier lunaire. Chaque nouveau mois commençait immédiatement après la nouvelle lune, dès le moment où l’on commençait à apercevoir le début d’un mince croissant de lune. Chaque nouvelle lune, qui marquait le début de chaque mois, était donc un moment très important, qui était d’ailleurs fêté.

La nouvelle lune est l’opposée de la pleine lune. Douze fois par an, la lune devient « noire » et disparaît de la vue. Puis elle réapparaît, sous la forme d’un fin croissant, qui va grandissant jusqu’à la pleine lune. Puis la lune entre dans une phase décroissante, jusqu’à la nouvelle lune suivante. Au moment de la nouvelle lune, la lune est complètement invisible pour l’œil humain.

Aujourd’hui, nous avons des calendriers précis qui nous indiquent toutes les phases des changements de lune. Il n’en était pas ainsi dans l’Antiquité. Les Juifs devaient observer attentivement les phases de la lune. Car il fallait pouvoir calculer précisément les dates des Fêtes de L'ÉTERNEL.

L’une des grandes responsabilités du Sanhédrin était donc de fixer avec précision la date de chaque nouvelle lune, pour marquer le point de départ de chaque nouveau mois. Il devait informer le peuple du moment précis du début de chaque mois. Dès que la nouvelle lune était annoncée, le premier jour du nouveau mois commençait. En Hébreu, ces observances étaient toujours considérées comme des moments sacrés, des « meodim. » Ces moments appartenaient à DIEU, et personne n’avait l’autorité de les modifier. Ceux qui l’auraient fait auraient commis un grand péché. Ces moments précis étaient observés en raison de leur implication Messianique.

Le septième mois, Tishri, était particulièrement important, parce que c’était le seul qui comportait une sainte convocation dès le premier jour du mois. Cela posait un problème unique en son genre. En effet, personne ne pouvait commencer à observer la Fête des Trompettes avant d’avoir entendu, de la bouche du Chef du Sanhédrin, la parole sacrée traditionnelle : « Sanctifié ! » Personne ne pouvait commencer à préparer et à observer cette fête, tant que l’on ne connaissait ni le jour ni l’heure où celle-ci pouvait être déclarée.

En effet, selon les phases de la lune, chaque mois comportait vingt-neuf ou trente jours. Le mois, nous l’avons vu, commençait à partir de la nouvelle lune. Mais celle-ci n’était pas toujours observable avec précision. Cela dépendait aussi des conditions atmosphériques. Le Sanhédrin devait donc se réunir dans la « salle des pierres polies, » et attendre la déclaration de témoins dignes de foi, qui avaient pu observer avec certitude le début de la nouvelle lune. Deux témoins de confiance étaient préposés à cet effet, et entretenus sur les fonds publics.

Si la nouvelle lune était observée au commencement du 30ème jour (ce qui correspond au soir du 29ème jour), le Sanhédrin déclarait alors que le mois précédent ne comporterait que 29 jours. C’était un mois dit « imparfait ». Le début du nouveau mois de Tishri était immédiatement signalé dans tout le pays, et même dans toute la diaspora, par un système de tours de guet qui allumaient des feux visibles à de longues distances dans la nuit.

Si les témoins crédibles ne s’étaient pas présentés au soir du 29ème jour, c’était le jour suivant, c’est-à-dire le soir du 30ème jour, qui était considéré comme le commencement du nouveau mois. Dans ce cas, le mois précédent comportait 30 jours, et était déclaré « complet ».

Les Juifs ne savaient donc jamais d’avance si la Fête des Trompettes allait commencer le 30 du mois d’Elul, ou le 1r du mois suivant, le mois de Tishri. Elle pouvait commencer l’un ou l’autre de ces deux jours. Ils ne savaient pas non plus à partir de quelle heure la Fête des Trompettes allait être annoncée. Pour cela, il fallait connaître l’heure exacte de l’apparition du premier croissant de la nouvelle lune. C’est pourquoi, même aujourd’hui, la Fête des Trompettes est une fête qui dure deux jours (en dehors d’Israël).

Dès que le jour et l’heure du début de la Fête étaient proclamés, on faisait retentir le « shofar, » pour une « sainte convocation » de tout le peuple. Cela marquait un temps de repos. La moisson devait s’arrêter (encore un signe prophétique), et le peuple se rendait au Temple pour célébrer la Fête.

On comprend l’importance de la juste détermination de la Fête des Trompettes, car de cette date allait aussi dépendre la détermination exacte des deux Fêtes suivantes, celle du Yom Kippur et celle de la Fête des Tabernacles, un peu plus tard dans le même mois.

Les paroles de JÉSUS s’appliquent donc parfaitement à la Fête des Trompettes, dont personne (sauf Le Père) ne connaissait jamais ni le jour ni l’heure. Notez bien que JÉSUS ne parle que du jour et de l’heure de Son retour. Mais tous les premiers Chrétiens, qui étaient des Juifs convertis, savaient que Le Seigneur avait laissé entendre qu’Il reviendrait lors d’un jour futur de la Fête des Trompettes. Si l’on ne connaissait ni le jour ni l’heure du début de cette Fête, on savait du moins qu’elle devait se produire à l’époque de la nouvelle lune de Tishri.

De même, si nous ne savons ni l’année, ni le jour ni l’heure de l’Enlèvement de l’Église, nous devons savoir qu’il se produira au début d’une future Fête des Trompettes, tout au moins si cette analyse est exacte, et confirmée dans les cœurs par le Saint-Esprit et la Parole de Dieu.

L’apôtre Paul savait que le jour de la résurrection serait celui du retentissement du shofar (1 Cor. 15 : 52 ; 1 Thes. 4 : 16).

Il est intéressant de savoir que, dans la tradition Juive, la résurrection des morts devait se produire le jour du Rosh Hashanah. C’est pour cela que de nombreux Juifs font graver un shofar sur leur tombe. Toujours selon la tradition Juive, le Jour du Rosh Hashanah marquait l’ouverture des portes du Ciel, pour que les justes puissent y entrer. C’est une nouvelle indication du fait que la résurrection des Chrétiens doit se produire le jour du Rosh Hashanah. Les Juifs et les Gentils convertis au Messie ressusciteront ce jour-là. Ceux qui L’auront rejeté ou méconnu devront passer par les « jours redoutables » de la Tribulation.

Zacharie dit, à propos de l’attaque de Jérusalem par toutes les nations, à la fin de la Tribulation :

« Alors Je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication, et ils tourneront les regards vers Moi, Celui qu’ils ont percé. Ils pleureront sur Lui comme on pleure sur un fils unique, ils pleureront amèrement sur Lui comme on pleure sur un premier-né » (Zacharie 12 : 10).

Ce sera le grand Yom Kippur, le dixième jour d’un septième mois, jour où tous les survivants des Juifs se repentiront et se convertiront à JÉSUS-CHRIST. Puis, peu après :

« Voici, le jour de L'ÉTERNEL arrive, et tes dépouilles seront partagées au milieu de toi. Je rassemblerai toutes les nations pour qu’elles attaquent Jérusalem ; La ville sera prise, les maisons seront pillées, et les femmes violées ; la moitié de la ville ira en captivité, mais le reste du peuple ne sera pas exterminé de la ville. L'ÉTERNEL paraîtra, et Il combattra ces nations, comme Il combat au jour de la bataille. Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, qui est vis-à-vis de Jérusalem, du côté de l’orient ; la montagne des oliviers se fendra par le milieu, à l’orient et à l’occident, et il se formera une très grande vallée : une moitié de la montagne reculera vers le septentrion, et une moitié vers le midi… Et L'ÉTERNEL, mon DIEU, viendra, et tous Ses saints avec Lui. En ce jour-là, il n’y aura point de lumière ; Il y aura du froid et de la glace. Ce sera un jour unique, connu de L'ÉTERNEL, et qui ne sera ni jour ni nuit ; mais vers le soir la lumière paraîtra… Tous ceux qui resteront de toutes les nations venues contre Jérusalem monteront chaque année pour se prosterner devant Le Roi, L'ÉTERNEL des armées, et pour célébrer la fête des tabernacles » (Zacharie 14 : 1-7, 16).

L'ÉTERNEL habitera à nouveau au milieu de Son peuple, et ils fêteront ensemble la grande Fête des Tabernacles, le quinzième jour du même septième mois.

L’attente de l’Enlèvement doit être un temps de réveil et de préparation spirituelle pour l’Église.

Il est encore temps pour tous ceux qui se sont écartés du Seigneur ou qui se sont attiédis de revenir à JÉSUS et de se repentir. Le Seigneur fera encore grâce et rétablira, car Il veut que tous soient sauvés.

Nous vivons une époque solennelle, celle de la manifestation de l’antichrist, et du retour proche de JÉSUS-CHRIST pour enlever Son Église et juger les rebelles. Il est urgent de choisir notre camp, qui doit être celui du Seigneur ! Ceux qui Lui appartiennent sauront entendre la voix du Saint-Esprit.

vendredi 11 mai 2012

Ne Mangez Pas les Éboueurs de la Planète !

Pourquoi DIEU a-t-Il interdit de manger certains aliments ? Est-Il un Créateur capricieux ? Pourquoi a-t-Il jugé utile de nous donner ces instructions ? Existe-t-il un fondement rationnel et logique qui justifie que les Écritures proscrivent certains aliments, impropres à la consommation humaine ?

Après la liste des animaux terrestres comestibles, la seconde partie des instructions Divines sur l'alimentation concerne les créatures aquatiques. Dans le livre du Lévitique, nous lisons : « Voici les animaux dont vous mangerez parmi tous ceux qui sont dans les eaux. Vous mangerez de tous ceux qui ont des nageoires et des écailles, et qui sont dans les eaux, soit dans les mers, soit dans les rivières [ ... ] Vous aurez en abomination tous ceux qui, dans les eaux, n'ont pas des nageoires et des écailles » ( Lévitique : 11 : 9-12 ). 

De nombreuses raisons, parfois fantaisistes, ont été avancées pour expliquer ces directives. Certains étudiants de la Bible reconnaissent que la consommation d'aliments impurs peut être nuisible à la santé ( Expositor's Bible Commentary, 1990 ), d'autres insinuent que les créatures sans nageoires ni écailles ressemblent à des serpents et sont, par conséquent, répugnantes ( Interpreter's Bible, 1953 ). Une autre source déclare que, selon les Écritures, les animaux « impurs » qui habitent dans les profondeurs, symbolisent la vie dans le péché et les souillures, et les nageoires symbolisent les prières qui devraient nous « sortir » de telles situations ( The Bible Commentary, Scribner, 1971 ). Mais les découvertes scientifiques révèlent des détails beaucoup plus importants, qui nous montrent la sagesse et le bien-fondé des instructions Divines pour une alimentation saine. 

Les « poissons purs », selon la Bible, sont des créatures qui se déplacent généralement en nageant. La plupart des poissons, dits « impurs »,  sont soit des habitants des profondeurs, soit des prédateurs qui font office « d'éboueurs ». L' interdiction de manger des poissons sans écailles nous protège des substances toxiques qu'ils sécrètent. Un manuel de l'U.S. Navy commente : « Tous les grands poissons dont la chair est toxique [ ...] n'ont habituellement pas d'écailles [ ... ] Mais à la place, ces poissons venimeux sont couverts de poils, de piquants, d'épines acérées, d'épines dorsales, ou sont enfermés dans une carapace osseuse. Certains ont une peau lisse, sans épine dorsale ni écailles « Survival on Land and Sea, 1944 ).

Beaucoup d'animaux marins, classés comme venimeux ( 4 sortes de requins, 58 raies, 47 poissons chats, 57 rascasses, 15 poissons crapauds, etc. ), n'ont pas vraiment d'écailles ( Caras, Venomus Animals of the World, 1974 ). Les anguilles, prédateurs et charognards nocturnes qui se nourrissent de « pratiquement tout type de nourriture, morte ou vivante » sont aussi à considérer comme impures ( International Wildlife Encyclopedia, 1990 ). Le sang de l'anguille contient une substance toxique « qui peut être dangereuse au contact des yeux ou autres muqueuses » ( Encyclopedia of Aquatic Life, 1988 ). 

Les directives Bibliques ont été données pour nous indiquer les poissons que l'on peut consommer sans danger. Mais nous devons quand même prendre certaines précautions ; il faut que les poissons purs soient suffisamment cuits, avant d'être consommés. Du poisson cru ( comme le sushi et le sashimi », ou du poisson insuffisamment cuit peut transmettre certaines sortes de vers parasites et de ténias ( Black, Microbiology, 1993 ).

Un but différent


Les crustacés, qui n'ont ni nageoires ni écailles, sont proscrits par les lois Bibliques alimentaires. Mais , pourquoi le homard, le crabe, l'écrevisse et la crevette grise, considérés comme des mets délicats dans certaines régions du monde, sont-ils interdits ? La réponse est relative à leur fonction écologique, pour laquelle ils ont été créés.

Le homard est un animal nocturne ( Encyclopedia Americana, 1993 ). C'est un prédateur et un animal nécrophage, il se déplace sur les fonds rocheux ( Encyclopedia of Aquatic Life ), et se nourrit d'animaux morts, de débris ou d'autres organismes ( Encyclopedia Britannica, 1995 ). Il a de longues antennes, et de minuscules capteurs, ressemblant à des poils, sur tout le corps « capables de détecter des molécules chimiques spécifiques dans l'environnement ( dégagées par des organismes en décomposition ), qui permettent au homard d'identifier et de localiser sa nourriture » même dans le noir ( New Standard Encyclopedia, 1993 ) ! On a observé des homards qui enterraient un poisson mort, et qui le déterraient ensuite pour le manger ( International Wildlife Encyclopedia ).

Les crabes sont considérés comme des « éboueurs professionnels » et des animaux « nécrophages » qui mangent presque tout. Le crabe préfère le poisson mort, mais il mangera tout type de charogne « de chair morte en putréfaction [ décomposition ] » ( International Wildlife Encyclopedia ). Le jour, la crevette grise, un petit « cousin » du crabe et du homard, vit dans la vase ou dans les fonds sablonneux des baies et des estuaires, un peu partout dans le monde. Mais elle devient active la nuit comme prédateur et animal nécrophage., et elle « mange les détritus qu'elle trouve sur le fond [ animaux morts et éléments en décomposition ] » ( Encyclopedia of Aquatic Life ).

Ces animaux ont tous été créés dans un but écologique très important. Ils sont, par nature, les « collecteurs d'ordures » ou les « éboueurs » des fonds des lacs, des rivières, des bords de mer, des baies et des océans. Ils n'ont pas été créés pour servir de nourriture aux êtres humains. Cela explique aussi, pourquoi manger des crabes, des écrevisses, des escargots et des crevettes grises, qu'ils soient crus, marinés, ou insuffisamment cuits, présente un risque important d'infections parasitaires comme la douve du foie [ un ver hématophage ], qui frappe plus de 80% des populations rurales en Asie du sud-est ( Black).

Les dangers des mollusques bivalves


Les palourdes, les huîtres, les moules et les coquilles Saint-Jacques ont aussi été créées pour des raisons importantes et logiques, qui expliquent pourquoi DIEU les a classées comme des aliments impurs et impropres à notre alimentation. On trouve ces créatures dans les lacs, les cours d'eau et les régions côtières, un peu partout dans le monde, où elles jouent un rôle bien précis. En tant que mollusques filtreurs et sédentaires, ils filtrent de grandes quantités d'eau à l'aide de leurs branchies couvertes de mucus, lesquelles retiennent les particules nutritives ( silt, débris de plantes, bactéries, virus ) dont ils se nourrissent ( Encyclopedia Americana, " Mollusks " ). Par conséquent, « les moules et les autres animaux qui se nourrissent de particules microscopiques, sont les ultimes éboueurs de la mer » ( International Wildlife Encyclopedia ). Ces organismes filtreurs sont « les aspirateurs » du milieu aquatique. Leur rôle est de purifier l'eau.

Après avoir saisi pourquoi DIEU créa les coquillages, la raison pour laquelle ils sont impurs devient évidente. De même qu'il ne vous viendrait pas l'idée de faire un repas avec le contenu du sac de votre aspirateur, des éléments retenus par le filtre de la hotte aspirante de votre cuisine, ou du contenu de votre fosse sceptique, vous devriez également réfléchir avant de manger des coquillages, car ils présentent un danger sérieux pour la santé ! Leur mode de nutrition est « idéal pour traiter les eaux usées à forte concentration bactérienne », et ils sont également dotés de la faculté à collecter et à concentrer des virus pathogènes, des métaux lourds et des toxines produites par le plancton ( International Wildlife Encyclopedia, Black ).

Le risque de maladie est-il vraiment sérieux ? L'agence de sécurité sanitaire américaine, la Food and Drug Administration, a déclaré que « les huîtres, les palourdes et les moules crues, très prisées des gourmets, sont responsables de 85% des maladies causées par la consommation des fruits de mer » ( FDA Consumer, juin 1991 ). Les manifestations de choléra, de typhoïde, de l'hépatite A, du virus de Norwalk ( gastroentérite ), des salmonelles et des intoxications paralysantes ne sont que quelques exemples des problèmes sanitaires, liés à la consommation de ces mollusques ( U.C. BerkeleyWellness Letter, février 1994 ).

Notez que les femmes enceintes, les personnes âgées et les « individus dont le système immunitaire est affaibli par certaines maladies ( cancer, diabète et sida ) devraient [ ... ] éviter de manger et de toucher aux fruits de mer crus » ( Consumer Research, juillet 1993 ). Ces situations dangereuses et potentiellement mortelles pourraient être évitées, simplement en connaissant et en observant les lois Bibliques, qui nous interdisent de manger des créatures aquatiques qui n'ont ni écailles ni nageoires.

Des oiseaux aux insectes


Les oiseaux, les insectes et les reptiles sont la dernière catégorie d'êtres vivants mentionnés dans le code Biblique. Tous les oiseaux impurs sont essentiellement des rapaces et des charognards, comme le vautour et la mouette ( Lévitique 11 : 13-19 ; Illustrated Bible Dictionary, volume 1, 1980 ). Les oiseaux carnivores jouent un rôle important de régulation des populations animales. Mais comme ils mangent la chair et le sang de leurs proies, ou des charognes, ils peuvent aussi transmettre des maladies. Les oiseaux prédateurs, qui mangent du poisson, concentrent dans leur corps un taux élevé d'éléments chimiques toxiques. La plupart de ces oiseaux ne représentent pas l'essentiel du régime alimentaire des êtres humains.

Les reptiles sont également impropres à notre consommation ( Lévitique 11 : 29-30, 42-43 ). En ce qui concerne les insectes, seuls ceux de la famille des sauterelles sont autorisés ( versets 21-23 ). Ces créatures se distinguent par de « longues pattes postérieures pour sauter » ( Expositor's Bible Dictionary ), et étaient, historiquement, une source de nourriture du Moyen-Orient.

Les lois diététiques ont-elles été abolies ?


Les lois bibliques concernant la diététique sont simples, rationnelles, pratiques et profondes. Longtemps avant que les êtres humains ne découvrent les détails des maladies causées par des microorganismes, le cycle de vie des parasites ou l'écologie en général, DIEU avait déjà révélé des principes efficaces, destinés à protéger l'environnement, garantir une nourriture saine et sans danger, et prévenir le développement des maladies, au profit de ceux qui respecteraient ces instructions. Le but et les bienfaits de ces directives Bibliques ont, de temps à autre, été reconnus au cours de l'Histoire. Récemment, un érudit observa : « La plupart des lois ont été données dans un but de santé publique [ ... ] les lois ont été merveilleusement conçues par DIEU pour la bonne santé générale de la nation » ( Expositor's Bible Commentary, 1990, pages 529, 569 ).

Puisque ces lois sont si logiques et bénéfiques pour l'humanité, d'où vient l'idée quelles auraient été abolies ? Pourquoi les chrétiens, qui disent croire en la Bible, semblent être les premiers à affirmer que ces lois sont abolies ? La réponse se trouve dans l'interprétation que l'on fait des Écritures, notamment Marc 7 et Actes 10. L'étude de la « preuve » est instructive.

Dans Marc 7, les Pharisiens demandèrent à JÉSUS pourquoi Ses disciples ne se lavaient pas les mains avant de manger, conformément à la tradition des anciens. Certaines traductions Bibliques ajoutent quelques mots à la réponse de JÉSUS, au verset 19, qui laissent entendre qu'Il aurait aboli les lois diététiques. Mais ces mots ne se trouvent pas dans le texte original grec. Ces traducteurs font dire à JÉSUS ce qu'Il n'a jamais dit. En fait, la mise au point de JÉSUS souligne que les impuretés qui pourraient entrer dans le corps humain, par voie orale, ne peuvent pas souiller spirituellement une personne, puisqu'elles ne peuvent pas entrer dans son coeur pour influencer les attitudes ( versets 18-23 ). Ces impuretés passent par le système digestif, avant d'être éliminées. Ce chapitre ne traite pas des viandes pures et impures, ni des lois diététiques ( pas plus que Matthieu 15 : 10-20, qui consigne le même événement ).

Actes 10 rapporte une vision, qui aida l'apôtre Pierre à comprendre les plans de DIEU pour la croissance de Son Église. Dans cette vision, des animaux impurs lui ont été présentés, et par trois fois une voix lui demanda d'en manger. À chaque fois, il refusa inflexiblement car il était convaincu que c'était mal ( versets 13-16 ). Notez qu'il est question ici du même Pierre qui aurait, supposément, entendu JÉSUS abolir les lois diététiques (Marc 7 : 2 ), et qui fut entraîné par JÉSUS pendant trois an et demi, or dans ce passage, il considère toujours qu'il ne faut pas manger d'animaux impurs ! Pendant qu'il essayait de comprendre la signification de cette vision ( Actes 10 : 17 ), trois hommes parmi les Gentils frappèrent à sa porte, pour lui demander de venir expliquer l'Évangile ( versets 21-27 ). Normalement, l'apôtre Pierre n'aurait pas dû s'associer avec ces hommes, qui n'appartenaient pas à la communauté juive, car les Juifs considéraient les païens comme « impurs ».

Lorsque l'apôtre Pierre eut assemblé toutes les pièces de ce petit puzzle, il en conclut : « DIEU m'a appris à ne regarder aucun homme comme souillé et impur » ( verset 28 ). Il avait compris que DIEU souhaitait que l'Évangile soit aussi porté aux Gentils, et qu'ils puissent entrer dans l'Église au même titre que les Juifs. Il n'a pas conclu, ni dans ce chapitre, ni ailleurs dans le Nouveau Testament, que les lois diététiques avaient été abolies. Cette soi-disant preuve n'existe tout simplement pas ! Ni JÉSUS-CHRIST, ni l'apôtre Pierre n'ont aboli les directives données par DIEU. 

Des arrière-pensées ?


Si la preuve que JÉSUS et les apôtres ont, prétendument, aboli les lois diététiques est si faible, en réalité, elle est même inexistante, d'où vient cette idée qui circule si largement dans la communauté chrétienne ? Les indices se trouvent dans les facteurs sociaux, politiques et religieux qui ont influencé les doctrines de l'Église au 2ème siècle après J-C ( Dr. Samuele Bacchiocchi, From Sabbath to Sunday, 1977, chapter 2 ).

Il est généralement admis que les premiers chrétiens continuèrent à observer de nombreuses lois dites de Moïse qui ne sont, en réalité, que les enseignements bibliques ( Luc 4 : 16 ; Gibbon, Decline and Fall of the Roman Empire, chapter 15 ). Cependant, comme un nombre croissant de Gentils entraient dans l'Église, il fallait faire face à un fort climat d'antisémitisme, qui se répandait dans l'Empire romain, à cette époque. Suite aux attaques des auteurs latins et grecs, qui tournaient les coutumes juives en dérision, « beaucoup de chrétiens se détachèrent du judaïsme » ( Bacciocchi, page 185 ).

De nombreux païens, convertis au christianisme, tentèrent de se « différencier radicalement » de tout ce qui pouvait s'apparenter au judaïsme. Ils cherchaient à se distinguer et à se détacher des Juifs. Afin de tenter de se créer une nouvelle identité,  ils commencèrent à substituer de nouvelles coutumes ( empruntées pour la plupart à la culture païenne environnante ) aux pratiques bibliques ( dites juives ) ( Bacchiocchi, chapter 2 ; Durant, Caesar et CHRIST ). Cela incluait le remplacement du sabbat par le culte du dimanche, la Pâque par les Pâques et, très probablement, l'abolition des lois diététiques. Comme le fit remarquer Bacchioccchi, les premiers écrivains « chrétiens » développèrent des façons très originales d'interpréter les Écritures, pour tenter d'établir un fondement biblique à leurs nouvelles pratiques. Ils cherchaient aussi à discréditer les pratiques juives, décrites dans la Bible ( page 183 ).

Pour l'éternité


L'une des conséquences malheureuses du non-respect des lois diététiques, éclata au 2ème siècle après J-C, qui fut une période trouble pour les populations. Des millions de gens souffrirent et périrent par suite des maladies, qu'ils contractèrent en mangeant des aliments, que DIEU avait déclarés impurs à la consommation.

L'affirmation Biblique, selon laquelle satan a séduit le monde entier ( Apocalypse 12 : 9 ), a été, d'une manière ou d'une autre, passée sous silence ou délibérément oubliée. La supercherie consiste, entre autre, à faire croire aux gens que les instructions théologiques, rationnelles et bénéfiques relatives à l'alimentation, que DIEU donna à Israël, afin que ce dernier soit une nation modèle pour le reste du monde, ont été abolies et ne sont plus valables.

Mais cette situation changera bientôt. Lorsque JÉSUS-CHRIST reviendra sur cette Terre, pour le « rétablissement de toutes choses » ( Actes 3 : 20-21 ), y compris des lois diététiques qui se trouvent dans la Bible. Les prophéties d'Ésaïe 65 : 1-10 et 66 : 15-20 révèlent qu'à Son retour, Le Sauveur de l'humanité rectifiera les fausses idées sur ces lois bénéfiques que, ni Lui ni personne d'autre, n'a abolies. Les gens apprendront alors pourquoi DIEU a établi ces lois, et ils jouiront des bénédictions d'une vie en harmonie avec ces principes Divinement inspirés ( Ésaïe 2 : 2-3 ). La Bible révèle aussi que, lorsque ce rétablissement aura lieu, il durera aussi longtemps que les êtres physiques auront besoin de règles pour contrôler leur comportement physique ( Ésaïe 9 : 5-6 ) !

Heureusement, vous n'avez pas besoin d'attendre le second Avènement de JÉSUS pour commencer à observer les instructions de votre Créateur. Vous pouvez commencer dès aujourd'hui. Ceux dont l'esprit a été ouvert à la véritable signification des Écritures, auront l'opportunité de partager ces principes importants avec toute l'humanité ( Ésaïe 30 : 20-21 ).

Ceux qui apprennent et mettent en pratique la façon de vivre Divine, régneront avec JÉSUS-CHRIST, dans le Royaume de DIEU, qui sera établi sur cette Terre ( Apocalypse 11 : 15 ; Daniel 2 : 44 ). Les lois diététiques font parties du plan de DIEU pour notre bien-être. Elles s'appliquent encore aujourd'hui, et elles seront des instructions fondamentales pour vivre en bonne santé dans le Monde de Demain. L.M.D.   

                

jeudi 10 mai 2012

Voulez-Vous Vraiment en Manger ?


Pourquoi DIEU a-t-Il interdit de manger certains aliments ? Devriez-vous encore vous conformer à ces mêmes instructions aujourd'hui ?

Les lois de la santé sur les animaux « purs » et « impurs » sont parmi les instructions les plus singulières et les plus embarrassantes de la Bible. Pendant des milliers d'années, ces lois furent un signe marquant l'identité du peuple de DIEU, le distinguant du reste du monde (Lévitique 20 : 25-26). Par conséquent, pendant des siècles, ces mêmes instructions ont été un sujet de controverse et de confusion, au sein de différents groupes religieux qui prétendent tous tirer leurs croyances du même livre, la Bible.

Certains considèrent que « ces lois expriment la volonté de DIEU », et sont donc des prescriptions alimentaires sages, raisonnables et bénéfiques, révélant que « DIEU prend soin de la santé de Son peuple » ( Expositor's Bible Commentary, " Introduction to Leviticus ", 1990. Ce concept de santé publique de ces lois alimentaires fut « adopté par Maimonide, le grand philosophe juif du Moyen-Âge, vivant en Espagne, ainsi que par d'autres érudits éminents » ( Illustrated Bible Dictionary, 1980 ).

Cependant, d'autres théologiens considèrent ouvertement les directives du Lévitique comme des idées vides de sens, arbitraires et irrationnelles, issues de superstitions primitives, et pas de la pensée de DIEU. Ces théologiens déclarent avec assurance, qu'il n'existe aucune explications logiques pour bon nombre de directives, dont leur but n'était absolument pas la santé ; que c'est une perte de temps pour les chrétiens d'étudier cette section des Écritures. Ils disent, en parlant des lois diététiques : « Quel rapport y a-t-il avec la religion ? » ( Interpreter's Bible, " Leviticus 11-15 ", 1953 ). Certains ajoutent même que « les textes [ les Écritures ] n'affirment pas que la santé soit le but [ des lois diététiques ], bien qu'il soit possible que l'hygiène en soit une conséquence » ( Expositor's Bible Commentary, 1990, page 526 ).

Pourtant, DIEU dit que Ses lois ont été données pour notre bien, pour prolonger notre vie ( Deutéronome 5 : 29, 33 ; 10 : 13 ). Ses lois diététiques ne sont pas arbitraires. Leur but est pour notre avantage. Pourquoi Dieu aurait-Il, plus tard, inspiré un Nouveau Testament qui, apparemment, montre que « Le CHRIST abrogea toutes les prescriptions du Lévitique sur les aliments purs et impurs » ( Illustrated Bible Dictionary ) ? Pourquoi un DIEU, qui a toute Sagesse, agirait de façon contradictoire ? 

Si vous vous êtes déjà posé de telles questions, c'est le moment de vérifier par vous-même, et de prouver la vérité à ce sujet. Le DIEU de la Bible vous met au défi : « Examinez [ prouvez ] toutes choses ; retenez ce qui est bon » ( 1 Thessaloniciens 5 : 21 ). Les réponses peuvent changer votre vie et avoir un impact positif sur votre santé ! 

Les Écritures révèlent plusieurs raisons importantes aux lois de la santé. Dans Exode, nous lisons que DIEU choisit la nation d'Israël dans un dessein spécifique ( Exode 19 : 5-6 ). Il est intéressant de remarquer que les lois diététiques étaient destinées à distinguer Israël des autres nations. Pourquoi ? DIEU dit à Moïse, « Je suis L'ÉTERNEL, votre DIEU, qui vous ai séparés des peuples. Vous observerez la distinction entre les animaux purs et impurs [ ... ] Vous serez saints pour Moi, car Je suis Saint, Moi, L'ÉTERNEL ; Je vous ai séparés des peuples, afin que vous soyez à Moi » ( Lévitique 20 : 24-26 ).

DIEU choisit Israël afin qu'il devienne une nation modèle, une lumière et un exemple pour le monde. « Vous les observerez et vous les mettrez en pratique ; car ce sera là votre sagesse et votre intelligence aux yeux des peuples, qui entendront parler de toutes ces lois et qui diront : Cette grande nation est un peuple absolument sage et intelligent ! Quelle est, en effet, la grande nation qui ait des dieux aussi proches que L'ÉTERNEL, notre DIEU, L'est de nous toutes les fois que nous L'invoquons ? Et quelle est la grande nation qui ait des lois et des ordonnances justes, comme toute cette loi que Je vous présente aujourd'hui ? » ( Deutéronome 4 : 6-8 ).

DIEU sépara Israël des autres nations afin que les résultats de Ses lois puissent être clairement visibles par les autres peuples, qui seraient attirés à Lui par les merveilleux avantages que procurent Ses voies justes. «  Mon fils, n'oublie pas Mes enseignements, et que ton coeur garde Mes préceptes ; car ils prolongeront les jours et les années de ta vie, et ils augmenteront ta paix » ( Proverbes 3 : 1-2 ). L'objectif de DIEU était que les autres nations souhaitent suivre l'exemple des Israélites, en voyant la sagesse et le bonheur de vivre selon les instructions Divines, dont celles du bien-être physique et de la délivrance des maladies ( Deutéronome 4 : 40 ; 7 : 12-15 ) !

Les lois diététiques permettent également de gérer, avec sagesse, et d'exploiter efficacement les ressources environnementales que DIEU a confiées à l'humanité. Les instructions sur les aliments « purs » et « impurs » tiennent une place importante dans la commission de Genèse 1 : 28 et 2 : 15 de « garder et prendre soin » de la Terre. Pour comprendre toute la signification des lois diététiques, il est nécessaire de les placer dans le contexte du dessein de DIEU pour toute l'humanité.

Debout sur l'herbe !


Lévitique 11 et Deutéronome 14 sont les premiers chapitre de la Bible à parler de ce sujet. Ils donnent des informations spécifiques de principes simples et faciles à comprendre. Comme le fait remarquer un commentaire : « C'étaient des lois pratiques que DIEU donna, dans Sa Sagesse, à un peuple qui ne connaissait pas les bases d'une bonne alimentation » ( Expositor's Bible Commentary, volume 2, page 569 ). De nos jours, cependant, les découvertes scientifiques révèlent à quel point ces lois sont réellement utiles et importantes.

Commençons par Lévitique 11 : 1-3 : « L'ÉTERNEL parla à Moïse et à Aaron, et leur dit : [ ... ] Voici les animaux dont vous mangerez parmi toutes les bêtes qui sont sur la Terre. Vous mangerez de tout animal qui a la corne fendue, le pied fourchu, et qui rumine. » Ces versets décrivent les mammifères qui mangent de l'herbe ( les herbivores ) classifiés comme ruminants. Un « ruminant » est « le nom donné à un animal qui broute, qui possède un système digestif hautement spécialisé, et qui a le sabot fendu » ( World Book Encyclopedia, 1995 ).

Ces animaux sont munis d'un estomac à quatre poches qui transforment l'herbe non comestible, pour les êtres humains et pour d'autres animaux, en produits nutritifs, riches en protéines de bonne qualité ( viande et lait ) que nous pouvons consommer. Parmi ces animaux purs, nous pouvons citer tous les bovins, le mouton, la chèvre, le cerf, le bison, l'élan, l'antilope, la gazelle, le caribou et la girafe. Ce sont tous des herbivores qui se nourrissent en broutant de l'herbe et des plantes.

Ces directives sont pleines de bon sens pour une bonne gestion de l'environnement. De vastes régions du globe sont couvertes de grandes étendues ( savanes, velds, pampas ), qui sont souvent des terres délaissées car les précipitations sont insuffisantes pour assurer des récoltes ( maïs, blé ). « La seule façon pour l'homme d'exploiter ces millions de kilomètres carrés de terres arides est d'y faire vivre des ruminants » ( Dairy Council Digest, janvier-février 1973 ). Les animaux qui se nourrissent d'herbe produisent aussi une viande moins grasse que les animaux nourris au grain, nous savons aujourd'hui que c'est meilleur pour la santé. Produire de la viande avec des bêtes qui se nourrissent d'herbe et de plantes est aussi beaucoup plus économique. 

Les animaux purs que DIEU permit à Sa nation modèle de manger, caractérisés par le sabot fendu et le fait qu'ils ruminent, étaient destinés à produire une nourriture nutritionnelle, économique et écologiquement saine. Ces directives furent données longtemps avant que les sciences sur l'écologie, l'économie et la nutrition n'existent. C'est l'un des aspects avantageux que DIEU voulait que le monde découvre à travers l'exemple de la nation d'Israël. 

Considérons le bacon


Les lois de la santé relatives aux ruminants interdisent également de consommer tous les animaux carnivores et omnivores, pour des raisons parfaitement logiques. DIEU créa des animaux purs pour produire la nourriture et les produits dérivés pour les besoins des êtres humains. Il créa aussi des animaux impropres à la consommation, pour d'autres raisons. Les carnivores, comme les bêtes de proie, jouent un rôle important en contrôlant la population animale. Par exemple, les loups et les pumas, qui chassent des troupeaux de cerfs, n'en contrôlent pas seulement leur nombre, mais ils contribuent aussi à maintenir la bonne santé du troupeau en éliminant ceux qui sont plus âgés, malades ou infirmes. C'est l'une des raisons pour lesquelles nous ne devrions pas manger les carnivores. Ils peuvent manger des bêtes malades, et transmettre des maladies aux êtres humains.

Le porc ou le cochon est clairement identifié comme un animal impur, que nous devons exclure de notre alimentation ( Lévitique 11 : 7-8 ; Deutéronome 14 : 8 ). Alors que certains théologiens déclarent : « Nous ne savons pas pourquoi le porc a été interdit » ( Interpreter's Bible ), d'autres écrivains trouvent de nombreuses raisons logiques en rapport avec l'écologie, l'économie, la nutrition et la santé publique. 

Souvent, à l'état sauvage, le porc est un animal nocturne qui fouille dans le sol pour trouver sa nourriture. Ses mœurs nocturnes réduisent au minimum le contact avec les êtres humains. Quant au cochon domestique, il fut utilisé pendant des siècles comme éboueur dans les fermes. Pour beaucoup de personnes, posséder un animal omnivore, capable de prendre rapidement du poids en mangeant toutes sortes de détritus, provenant d'animaux morts et de déchets humains, et pouvant ensuite être abattu pour servir de nourriture, semblait être un bon arrangement. Mais, l'est-ce vraiment ?

Aujourd'hui, l'alimentation des porcs domestiques « se fait principalement à base de maïs et de céréales » ( New Standard Encyclopedia, 1993 ). Cependant, n'étant pas des ruminants, et possédant un appareil digestif similaire à celui des êtres humains, les cochons sont incapables de vivre d'herbe et sont donc des concurrents écologiques de l'homme, car ils sont nourris avec le même type de nourriture à base de céréales ( le blé, le maïs, l'orge ). En Amérique, environ 20% du maïs récolté sert à nourrir les porcs. 

Fondamentalement, les cochons se plaisent à manger la même nourriture que les êtres humains. Ce n'est donc pas une gestion sage des ressources, d'un monde en pleine explosion démographique, qui dépasse ses capacités à produire suffisamment de nourriture. C'est probablement une autre raison pour laquelle DIEU ne veut pas que nous mangions de la viande de porc. Il savait d'avance qu'élever un grand nombre de porcs finirait par détourner de la bouche des gens pauvres les céréales indispensables à leur survie ! 

JÉSUS-CHRIST Lui-même ne fit rien pour empêcher la destruction de tout un élevage commercial de pourceaux ! « Il y avait là, dans la montagne, un grand troupeau de pourceaux qui paissaient. Et les démons supplièrent JÉSUS de leur permettre d'entrer dans ces pourceaux. Il le leur permit. Les démons sortirent de cet homme, entrèrent dans les pourceaux, et le troupeau se précipita des pentes escarpées dans le lac, et se noya » ( Luc 8 : 32-33 ). JÉSUS aurait-Il permis la destruction d'un bien de valeur, sans raison, par imprudence ou par accident ?

Ne mangeons pas de vers


L'une des principales maladies transmise par le porc, et d'autres animaux impurs, est la trichinose. Elle est provoquée par un parasite, un petit ver rond, qui se développe dans les tissus musculaires des bêtes et des êtres humains. Cette maladie est présente sur tous les continents, et touche 1% de la population mondiale, soit près de 60 millions de gens ( Microbiology , Gerald Tortora, 5ème édition, 1995 ). Cela n'est pas surprenant, si l'on considère que « les gens, dans le monde entier, mangent d'avantage de porc que d'autres viandes » ( World Book Encyclopedia. 1995 ). Les Américains en consomment environ 30 kg par personne et par an. Il faut noter, cependant, que beaucoup d'animaux carnivores et omnivores sont infectés par la Trichinella spiralis. Les viandes d'ours, de morse et de sanglier sont des sources importantes d'infections ( Medical Microbiology, Baron, 1993 ). On pourrait aussi ajouter à cette liste les viandes d'écureuil, de rat, de chat, de chien, de lapin, de renard, de cheval et de mammifères marins ( Microbiology, Nestor, 1995 ; Control of Communicable Diseaters in Man, Benenson, 12ème édition, 1975 ). Ce n'est ni un accident, ni une coïncidence si DIEU a interdit de consommer ces animaux, lorsqu'Il donna Ses lois sur la santé.

Le ténia ( ou ver solitaire ), qui frappe environ 3% de la population mondiale ( environ 180 millions de personnes ), est un autre problème sanitaire lié à la consommation de viande de porc ( Microbiology, Tortora ). Si le bœuf et le poisson peuvent aussi contenir des ténias capables de se développer dans le système digestif de l'homme et l'indisposer, ceux du porc sont beaucoup plus dangereux. Les larves de ténias du porc, arrivées dans l'intestin de l'homme, peuvent migrer dans les tissus du coeur, des yeux et du cerveau et même entraîner la mort ( Microbiology in Patient Care, Morello, 5ème édition, 1994 ). En parlant du ténia du porc : « Ce sont dans les régions présentant les plus bas niveaux d'hygiène, et où le porc constitue la plus grande partie de l'alimentation, que l'on a relevé les taux d'infections les plus élevés. Il s'agit du Mexique, de l'Amérique Latine, de l'Espagne, du Portugal, de l'Afrique, de l'Inde, de l'Asie du sud-est et de la Chine » ( Medical Microbiology, Baron, 1994 ).

Bien que le principal conseil pour éviter les infections parasitaires du porc et des autres animaux impurs soit de bien cuire la viande, la façon la plus efficace de les éviter est encore de ne pas manger ces animaux impurs, qui n'ont pas le pied fourchu et qui ne ruminent pas, selon ce que DIEU enseigna à Moïse et aux Israélites, il y a environ 3,500 ans. Si seulement cette partie du code diététique Biblique était mise en pratique aujourd'hui, le fardeau mondial des maladies parasitaires pourrait être spectaculairement réduit en l'espace d'une génération ! L.M.D.

À Suivre : Ne Mangez Pas les Éboueurs de la Planète ...

mercredi 9 mai 2012

Miracle " sur la route d'Enttebe "

 

Miracle " sur la route d'Enttebe "


Umar Mulinde portant ce masque spécial made in Israël favorisant une bonne cicatrisation pour les greffes de peau, suite aux jets brûlants d'acide au visage.

Umar Mulinde est un ancien musulman devenu chrétien, pasteur d'une église évangélique à Kampala ... "sur la route d'Enttebe". Pour être sorti de l'Islam - son père est l'imam local - et pour aimer et soutenir Israël, Umar a été agressé violemment par des musulmans décidés à le tuer. Aux cris de "Allah Akhbar", ils l'ont aspergé d'acide ! C'était le 24 décembre 2011.

De Jérusalem,

Transporté d'urgence à l'hôpital chrétien de Kampala, il fut mis en danger à nouveau par un faux médecin tentant de l'empoisonner. Encore une fois, il fut sauvé in extremis, et évacué en Inde. Mais là aussi, les musulmans étaient présents, désirant sa mort. C'est ainsi que Umar demanda à être soigné en Israël. Il est actuellement à l'hôpital Tel hashomer de Tel-Aviv, et ses frais sont pris en charge par l'État hébreu.

Un long et minutieux travail commença pour les docteurs israéliens. Il fallait reconstruire le visage, les lèvres, le nez qui avaient comme fondu. Son visage était une plaie ouverte. L'œil droit était mort, il fallait sauver le gauche. Le plus terrible est que l'acide continue à faire son œuvre de destruction en profondeur, s'attaquant à l'os. Puis, après quelques greffes de peau pour remplacer celle qui n'existait plus, les chirurgiens s'aperçurent, hélas, que seul 40% des greffes prenaient. Il fallait donc les refaire, au risque d'un arrêt cardiaque. Avec son épouse, Umar n'en pouvant plus, cria à D.ieu ... Le lendemain, miracle ! Les médecins ne comprenaient pas : les greffes avaient toutes prises, à 100%. 

Umar Mulinde a réussi par ses actions et avec le concours de ses amis chrétiens à faire barrage à la promulgation de la Loi de la sharia au sein même de la Constitution de l'Ouganda ! L'an dernier, Umar a sponsorisé une conférence avec 5.000 pasteurs au stade de Kampala, pour parler d'Israël. Il a fait une pétition et a recueilli 360.000 signatures en Ouganda, ce qui a stoppé l'établissement de tribunaux islamiques en Ouganda. Les musulmans ont alors émis une Fatwa (une condamnation à mort) contre lui.

Avec seulement 12 % de musulmans en Ouganda, le reste de la population étant chrétienne, la sharia a failli devenir la loi du pays. L'on sait que du temps du "raid d'Enttebe" en 1976, sévissait le tyran ougandais musulman Idi Amin Dada. La libération par le commando israélien des passagers du Boeing détourné par les Islamistes a contribué à le faire tomber. Durant son règne sanguinaire, des centaines de milliers d'Ougandais ont été assassinés, dont une majorité de chrétiens.

Aujourd'hui, l'Ouganda est déclaré "pays islamiste"... avec 12 % de musulmans ! Le message de Umar Mulinde est clair, il concerne l'Europe et tout l'Occident qu'il estime en danger de mort. L'action des musulmans, selon Umar, se produit systématiquement à tous les niveaux : religieux, économique, politique - pour notamment introduire la sharia dans la Constitution - et bien sûr au niveau des médias.

" L'islam n'est pas une religion de paix ... C'est le monde entier qu'ils veulent conquérir ... Nous (en tant que chrétiens), ne combattons pas les musulmans, mais l'esprit de l'Islam qui est derrière ... Attention, D.ieu n'a pas seulement besoin de vos prières, Il se sert de vos bouches, de vos jambes ... Après la prière, il faut l'action ".

Retourner en Ouganda auprès des siens


Malgré les menaces de mort qui pèsent sur lui de la part des Islamistes en Ouganda, Umar - 38 ans - a la ferme intention de revenir dans son pays pour être avec sa famille et ses six enfants âgés de 14 à 3 ans. Il rend grâce à Israël de l'avoir sauvé, et encourage l'État hébreu à rester ferme dans sa politique vis-à-vis de ses voisins arabes, sachant combien le monde islamique ne supporte pas la résistance de ce petit pays, demeurant la seule démocratie dans un Moyen-Orient islamisé.

Il reste pour Umar trois interventions chirurgicales à subir, devant se faire dans les trois prochains mois. Il dit : "Je n'ai pas de compte en banque, mais j'ai un compte de prières". Ayant une grande confiance dans les docteurs israéliens, Umar compte aussi et surtout sur le grand D.ieu d'Israël, et sur la prière pour sa guérison complète.

Faisons monter pour Umar et sa famille des prières pour une protection particulière, qu'ils soient gardés et bénis, car " Celui qui bénit Israël est béni " - Genèse 12:3.

Pasteur Gérald Fruhinsholz



Abonnés

Louange

Louange 2

Louange hébraïque

Archives du Blog

Radio Musique Messianique